IQ-EQ is delighted to announce the establishment of operations in Dubai, United Arab Emirates (UAE), giving our group its first physical presence in the Middle East.

This move marks the first major milestone in a strategic expansion of the firm’s footprint and service offering in the Middle East, building upon our long-established support for clients in the region.

The new office, located in the Dubai International Financial Centre (DIFC), also raises IQ-EQ’s location count to 25 jurisdictions worldwide.

Group Chief Executive Officer of IQ-EQ, Mark Pesco, commented:

“The extension of IQ-EQ’s global reach to the DIFC, a leading financial hub in the Middle East, aligns with our ambition to have a local presence in all of the world’s leading IFCs and will enhance the Group’s already-strong global positioning.

It is significant that the DIFC is evolving as a connecting IFC jurisdiction between Africa, India and the Middle East economies, and given IQ-EQ’s extensive network and client base in the region, we are confident this venture will be a great success.”

Today’s announcement follows receipt of requisite approvals from the DIFC and the Dubai Financial Services Authority (DFSA) for IQ-EQ UAE to offer a comprehensive suite of investor services to clients ranging from corporate businesses to ultra-high-net-worth individuals and family offices.

Heading up IQ-EQ UAE in Dubai is Tariq Nakhooda, Senior Executive Officer, who joined IQ-EQ in 2022 to establish, build and lead the new operation. He elaborated:

“Our initial Dubai operations will assist clients with their local and international structuring requirements, including company and foundation formation and management, compliance services, corporate secretarial and accounting services. We plan to extend our offering to full-fledged domestic fund administration in due course, following procurement of the necessary regulatory approvals.

Having worked in Dubai for over a decade, I have witnessed first-hand its remarkable connectivity with the rest of the world, its strategic positioning and robust growth – making it imperative for a top global player like IQ-EQ to be part of this growing community.”

In building IQ-EQ’s UAE business, Tariq is working closely with Sridhar Nagarajan, IQ-EQ’s Regional Managing Director for Africa, India and the Middle East, and Rehma Imrith, Chief Commercial Officer for Africa, India and the Middle East.

Dans un contexte d’incertitude économique, les travailleurs privilégient la sécurité de l’emploi mais ne renoncent pas à leur besoin de flexibilité.

La vingtième édition du Workmonitor de Randstad a été menée auprès de 35 000 travailleurs sur 34 marchés dans le monde entier. Pour le Luxembourg, les résultats de l’enquête montrent que les répondants ne sont pas aussi inquiets que dans les autres pays du monde de l’impact de l’incertitude économique sur la sécurité de leur emploi (21% contre 52% à l’échelle mondiale). Seuls 14% craignent perdre leur emploi (37% au global) mais cela préoccupe davantage la génération Z (21% contre 43% à l’échelle mondiale).

Un changement notable et durable des attentes des salariés

L’édition 2023 du Workmonitor Randstad montre que les travailleurs ne feront pas marche arrière sur certains acquis de ces trois dernières années. C’est notamment le cas de la flexibilité dans la façon d’exercer leur métier.

  • Malgré le contexte économique, près de deux tiers des répondants au niveau mondial (46% au Luxembourg) n’accepteraient pas un travail qui irait à l’encontre de l’équilibre entre leur travail et leur vie privée.
  • La très grande majorité des travailleurs (83% au global et 78% au Luxembourg) a également indiqué qu’il est important de pouvoir disposer d’horaires de travail flexibles, une attente qui supplante l’attention portée à la politique de congé parental (65% au Luxembourg et 62% à l’échelle mondiale) et aux possibilités de formation (74% au Luxembourg et 76% à l’échelle mondiale).
  • Au Luxembourg, la flexibilité en termes de lieu de travail est moins mise en avant (58% contre 71% au global), sans doute en partie à cause des contraintes concernant les travailleurs frontaliers.

Les salariés aspirent à exercer un emploi au sein d’une entreprise dont ils partagent les valeurs et la mission. Plus de la moitié d’entre eux (55%) ont déclaré qu’ils quitteraient un emploi s’ils avaient l’impression de ne pas y avoir leur place. Cela est notamment vrai pour la génération Z (52% au Luxembourg et 61% à l’échelle mondiale). Plus de 40% des personnes interrogées n’accepteraient pas un emploi s’il ne correspondait pas à leurs priorités sociales et environnementales (36% au Luxembourg).

L’augmentation du coût de la vie incite à travailler plus ou plus longtemps

S’ils ne sont pas prêts à renoncer à la flexibilité, la conjoncture économique difficile ainsi que l’inflation galopante qui sévit à travers le monde poussent les travailleurs à chercher à accroître leurs revenus.

  • Au Luxembourg, 10% des répondants (25% au niveau mondial) ont décidé de prendre ou de rechercher un nouvel emploi pour faire face à l’augmentation du coût de la vie. Ce chiffre passe à 16% pour la génération Z (30% au niveau mondial).
  • 16% des personnes interrogées prévoient de travailler plus dans leur job actuel (22% à l’échelle mondiale). Là encore cette proportion est beaucoup plus importante chez la génération Z (26% au Luxembourg et 37% au global) mais concerne en moindre mesure les baby-boomers (8% au Luxembourg et 13% à l’échelle mondiale).
  • Une part non négligeable de répondants (14%) serait prête à démissionner pour un emploi mieux rémunéré. C’est le cas pour 25% des personnes issues des générations Y et Z mais cela ne concerne pas les baby-boomers (1%).

La crise que nous traversons a aussi un impact sur les prévisions des travailleurs en matière de retraite. Plus d’un quart (26%) des baby-boomers, au Luxembourg tout comme au niveau mondial, retardent leur départ à la retraite en raison de leur situation financière et 78% des travailleurs interrogés affirment ne pas pouvoir prendre leur retraite aussi tôt qu’ils le voudraient à cause de problèmes d’argent.

Toutefois, au Luxembourg, 82% des répondants pensent pouvoir prendre leur retraite avant 65 ans alors qu’ils ne sont que 51% à être dans ce cas au niveau mondial.

Une aide des employeurs est souhaitée

Face à la situation difficile qu’ils traversent, les travailleurs du monde entier comptent sur leurs employeurs pour fournir un effort supplémentaire, que ce soit par le biais d’augmentations, de primes ou d’aides diverses.

  • Au Luxembourg, 50% des répondants souhaitent une prime mensuelle pour compenser l’inflation (41% à l’échelle mondiale).
  • 41% aimeraient percevoir une prime pour compenser l’augmentation du coût de l’énergie, des transports et des dépenses quotidiennes (28% au niveau mondial).
  • 40% voudraient bénéficier d’une augmentation salariale en dehors du cadre des évaluations annuelles (39% au global).

European Depositary Bank (“EDB”), the Luxembourg-headquartered provider of banking, depositary and custody solutions, announces today the appointments of Cecilia Gejke, PhD as Managing Director and Member of the Executive Management Board, and Gilda B. Neiman as a Member of the Board of Directors.

As part of Apex Group, EDB is one of the largest providers of depositary services in Europe for regulated UCITS and alternative funds, with over $185bn of Assets under Depositary (as of January 31, 2023).

Cecilia Gejke, PhD, joined EDB in early 2023, bringing nearly two decades of experience in the financial services sector, having held various leadership roles within Risk Management in London, Scandinavia and Luxembourg for international banks such as Nordea, Mizuho, Santander UK and JP Morgan. She has gained a broad experience across the investment, retail and private banking sectors with deep knowledge of products, including derivatives, and financial regulation. She has a proven track record of designing and delivering efficient risk management frameworks to drive business performance, supported by a strong risk culture and has been an active member of the Asset and Liability Committee, Compliance Committee and Management Committee in her previous institutions. She holds a PhD in Material Physics.

Gilda B. Neiman joins the Board of Directors of EDB, drawing on over 30 years’ experience in Executive & Relationship Management, International Wholesale Banking, Post-Trade Financial Services and Corporate Governance. She has worked with complex financial market intermediaries, investors, multi-lateral development institutions, governments and companies around the world to help meet their financial and strategic goals. Ms. Neiman has considerable banking experience having managed Citibank Europe plc’s branch in Brussels, Belgium. She currently specializes in advising institutions including banks on the application of Sustainability and ESG policies, including on environmental impact, diversity & inclusion matters.

This latest news follows the appointments of David Claus as CEO of EDB, and of Robert Steele and Jean-François Thils as Members of the Executive Board, and recent client wins of Arab Bank for digital bank accounts, and GenTwo and Mikro Capital for paying agent services.

Dr. Gejke and Ms. Neiman join the growing number of senior women holding leadership roles across Apex Group and its subsidiaries. Apex Group is a founding signatory of the Luxembourg Women in Finance Charter, and has recently celebrated the success of its internal Women’s Accelerator Program, with the launch of an external Women’s Accelerator Network, the first free of charge, grassroots private membership community that connects women across age groups, roles and professions within the financial services industry.

David Claus, CEO of EDB comments:

“We are delighted to welcome Cecilia and Gilda, two highly qualified and experienced individuals to the Executive Management Board and Board of Directors of EDB, respectively. These appointments are further evidence of our commitment to continuous investment in the governance structures, risk management frameworks and technology infrastructure of EDB as we seek to constantly improve client service and experience. I look forward to working with both Cecilia and Gilda, and the valuable skillsets and strategic insights they will bring to EDB as we continue to grow our differentiated and independent banking solutions for our clients.”

The European Central Bank (ECB) has today published its first climate-related financial disclosures, which provide information on its portfolios’ carbon footprint and exposure to climate risks, as well as on climate-related governance, strategy and risk management.

Presented in two reports, the disclosures cover the Eurosystem’s corporate security holdings under the corporate sector purchase programme (CSPP) and the pandemic emergency purchase programme (PEPP), as well as the ECB’s euro-denominated non-monetary policy portfolios (NMPPs), including its own funds portfolio and its staff pension fund.

“These disclosures are a further piece of the puzzle in our efforts to contribute to fighting climate change,”

says President Christine Lagarde.

“They give us a clear view of our progress in decarbonising our portfolios and, over time, they will help us to chart the most effective course towards the goals of the Paris Agreement.”

The disclosures show that the corporate bonds held under the CSPP and PEPP are on a decarbonisation path. Although the portfolios’ absolute greenhouse gas emissions have increased in recent years because the Eurosystem has purchased more securities for monetary policy purposes, issuers’ carbon intensity has gradually declined. This is partly due to the fact that the companies in our portfolio have lowered their emissions for every million euro of revenue they earn, reflecting their efforts to significantly reduce their emissions and boost carbon efficiency.

A second factor reducing the relative emissions associated with corporate sector purchases since October 2022 is the ECB’s decision to tilt its holdings towards issuers with a better climate performance, which is helping to decarbonise the Eurosystem’s corporate sector portfolios on a path in line with the goals of the Paris Agreement.

The disclosures also show that the ECB has more than halved emissions from corporate and equity investments in its staff pension fund since 2019. These assets are already aligned with the Paris Agreement and low-carbon benchmarks, which has resulted in the reallocation of funds towards more carbon-efficient issuers, putting the portfolio on a firm decarbonisation path. For its own funds portfolio, the ECB has gradually increased the share of green bonds, up from 1% in 2019 to 13% in 2022. As this portfolio consists mainly of euro area government bonds, its decarbonisation depends to a large extent on countries’ efforts to reduce their emissions and meet Paris Agreement goals.

From now on, the ECB will disclose climate-related information on these portfolios every year, while continuously improving the disclosures as the quality and availability of data progress. Over time, it will expand the scope of the disclosures to cover other monetary policy portfolios, such as those under the public sector purchase programme (PSPP), the third covered bond purchase programme (CBPP3) and other assets under the PEPP. The ECB also aims to set interim decarbonisation targets for its own funds portfolio and staff pension fund to stay on track with Paris Agreement goals. Similarly, the ECB Governing Council will consider setting such targets for corporate sector portfolios.

The ECB’s NMPP disclosures are part of a concerted effort by all Eurosystem central banks to publish climate-related financial disclosures on their euro-denominated NMPPs using a common framework that defines minimum reporting requirements based on the recommendations of the Task Force on Climate-related Financial Disclosures. A dedicated ECB page will list the disclosures of all Eurosystem central banks as they are published over the coming weeks.

By publishing these disclosures, the Eurosystem is delivering on one of the key commitments outlined in its climate change action plan. Looking ahead, the ECB will regularly review its climate-related measures to ensure, within its mandate, that it continues to support a decarbonisation path in line with the goals of the Paris Agreement and EU climate neutrality objectives.

Les différents instruments juridiques liés à la contraception, permettant la mise en œuvre du programme de médecine préventive et d’accès universel aux contraceptifs sur le plan national, entreront en vigueur le 1er avril 2023.

Ce sera donc à partir de cette date, que le remboursement à hauteur de 100% et sans limite d’âge des moyens de contraception prévus dans la convention sera effectif.

“La gratuité contraceptive est le pari réussi s’inscrivant dans la couverture universelle des soins de santé prévue dans l’accord de coalition 2018-2023. Ce règlement grand-ducal permettra à chacune et chacun d’avoir les moyens de planification familiale adaptés à sa situation, ainsi qu’un accès à des services de santé et des médicaments essentiels sûrs, efficaces et de qualité”,

se réjouit Paulette Lenert, ministre de la Santé.

Selon l’Atlas européen de la contraception de 2023, le Luxembourg se place en 4e position avec un score de 82,5% après l’Angleterre (96,9%), la France (93,2%) et la Belgique (91,1%).

“Avec la gratuité mise en place, le Luxembourg s’apprête à grimper davantage les échelons”,

souligne Paulette Lenert, ministre de la Santé.

Les moyens de contraception prévus dans la convention sont les suivants:

  • les oestroprogestatifs oraux à usage contraceptif (pilule contraceptive),
  • les oestroprogestatifs transdermiques à usage contraceptif (patch contraceptif),
  • les oestroprogestatifs vaginaux à usage contraceptif (anneau contraceptif),
  • les progestatifs oraux à usage contraceptif (minipilule),
  • les progestatifs injectables à usage contraceptif (injection contraceptive),
  • la contraception d’urgence hormonale (pilule du lendemain),
  • les progestatifs à usage contraceptif sous forme d’implant sous-cutané (l’implant contraceptif),
  • le dispositif intra-utérin à visée contraceptive (stérilet),
  • la ligature tubaire à visée contraceptive permanente (stérilisation),
  • l’intervention sur les canaux déférents à visée contraceptive masculine permanente (vasectomie).

De plus, en cas d’urgence, une ordonnance médicale n’est pas requise pour le remboursement de la pilule du lendemain dans une pharmacie ouverte au public.

“Avec le remboursement à 100% et sans limite d’âge, l’accès universel aux moyens de contraception pour les femmes et les hommes est dès lors réalité”,

se réjouit Claude Haagen, ministre de la Sécurité sociale.

La prise en charge de 100% de l’intégralité des nouveaux actes et des actes modifiés par le règlement grand-ducal incombera au budget de l’État.

Cette gratuité contraceptive ne concerne toutefois pas le préservatif masculin, certes un moyen de prévention et de contraception répandu et important, de par sa capacité de protéger contre les infections sexuellement transmissibles.

Cependant, le ministère de la Santé, en étroite collaboration avec son partenaire “HIV Berodung” de la Croix-Rouge, met à disposition des préservatifs en libre-service à différents endroits répartis dans les 4 coins du pays, à savoir: les différents locaux du service “HIV Berodung”, le Centre d’information gay et lesbien (Cigale), dans le cadre du DIMPS (service mobile), l’Xchange/MOPUD (mobile de prévention pour usagers de drogues), les centres du Planning familial, le CHL et dans de nombreuses associations œuvrant dans le domaine de la santé affective et sexuelle.

Le ministère de la Santé met également à disposition des distributeurs de préservatifs aux écoles et est en train d’élaborer un concept pour assurer la gratuité de ces préservatifs.

  • Net profit stands at €18.1 million
  • Income rises to €524 million, up 14%
  • Loan book expands to €4.9 billion, up 10%
  • Expenses decline to €493.2 million, down 2%
  • CET1 ratio rises to 18.4%, well above regulatory threshold

Quintet Private Bank announced today its 2022 financial results, highlighting the ongoing growth of its core business over a 12-month period marked by the firm’s
return to profitability.

Total group income rose to €524 million in 2022, up 14% compared to €460.8 million in 2021. Revenue growth was supported by increased lending, which reached €4.9 billion, up 10% from €4.5 billion in 2021. In 2022, group expenses remained largely stable at €493.2 million, a 2% decline compared to €504.6 million in 2021.

Despite significant market volatility last year and sustained inflationary pressure, Quintet reported a 2022 net profit of €18.1 million. That represents a turnaround from 2021, when one-off expenses weighed on the firm’s bottom line.

As of December 31, 2022, total client assets stood at €86.7 billion, a 10.2% decline from the end of 2021 primarily due to a price impact linked to volatile financial markets. The firm expects total client assets to recover as markets stabilize.

Quintet’s Basel III common equity tier 1 ratio stood at 18.4% at the end of 2022, well above the regulatory threshold and up from 18% at the end of the previous year. The firm’s liquidity coverage ratio stood at 153.2% at the end of 2022, up from 138.5% at the end of 2021 and likewise well above the regulatory threshold. Current sources of funding and liquidity remain extremely stable.

“We are pleased with our 2022 results, which reflect Quintet’s many strengths, starting with robust geographic coverage across Europe and the UK,”

said Rory Tapner, Chair of the Board of Directors.

“Our clients value our rich heritage, local proximity and personalized service. At the same time, they prize our ability to provide broader perspective and expert independent advice,”

Tapner said.

“Thanks to that unique combination of proximity and perspective, Quintet will continue to stand apart as a reliable wealth manager with the protection of client wealth firmly at the center of its approach.”

Group CEO Chris Allen, who assumed the leadership of Quintet in July 2022, said: “We are strengthening the foundation of our firm to support sustained growth. That includes through our strategy refresh – a series of measures we will implement consistently over the course of this year and 2024 – and our new five-year business plan.

“We will seize the opportunity, especially following the 2020 merger of our EU subsidiaries, to create additional economies of scale, reduce organizational complexity and increase collaboration in service to our clients,”

Allen said.

“We also intend to make further investments in the bank this year,including in areas such as client experience, digitization and staff training. In combination, these measures will lead to greater productivity, increased revenues and lower expenses.”

“Backed by our deeply committed shareholder, we will continue to chart our path to sustained profitability and long-term growth. We will further establish Quintet as a firm that earns the trust of its clients by placing their interests right where they belong: at the heart of our organization.”

La progression de l’emploi salarié continue : au quatrième trimestre 2022 le marché de l’emploi salarié a connu une hausse de +0.8% par rapport au troisième trimestre 2022. En variation annuelle la progression a été de +3.3%. La progression de l’emploi salarié continue : au quatrième trimestre 2022 le marché de l’emploi salarié a connu une hausse de +0.8% par rapport au troisième trimestre 2022. En variation annuelle la progression a été de +3.3%.  Ce sont les activités financières et d’assurance (+1.1%) qui montrent les progressions trimestrielles les plus importantes par rapport au troisième trimestre 2022.

Les activités spécialisées et les services de soutien (+4.5% sur un an), ainsi que l’administration et les autres services publics (également +4.2% sur un an) sont les branches les plus dynamiques en comparaison annuelle. Pour les activités spécialisées et les services de soutien le développement favorable provient des activités comptables et des activités des sièges sociaux. Quant au deuxième secteur, ce sont les services de l’administration centrale qui ont enregistré la croissance la plus importante.

Au quatrième trimestre le nombre de salariés frontaliers a de nouveau augmenté plus rapidement que celui des salariés résidents : on constate une augmentation de 0.9% par rapport au deuxième trimestre pour les frontaliers et une augmentation de 0.7% pour les résidents. Pour les salariés frontaliers français on observe la plus forte progression : +1.3% par rapport au trimestre précédent. En variation annuelle, le nombre de résidents non communautaires a progressé de 17.9% (+1.8% pour les résidents luxembourgeois).

Évolution de l’emploi salarié

La deuxième partie de l’édition 2022-2023 de l’enquête de la BEI sur le climat explore les points de vue des citoyens vis-à-vis des changements climatiques dans un monde en mutation rapide. Les résultats de cette publication se concentrent sur les comportements individuels des citoyens et sur les mesures qu’ils prennent pour lutter contre les changements climatiques.

68 % des résidents luxembourgeois âgés de 20 à 29 ans affirment que l’impact climatique d’un potentiel futur employeur est un critère important au moment de choisir un emploi, et 16 % estiment qu’il s’agit même d’une priorité absolue

58 % sont favorables au durcissement des politiques publiques afin d’induire une modification des comportements des citoyens (69 % pour les moins de 30 ans)

77 % des résidents luxembourgeois déclarent qu’ils seraient prêts à payer plus pour des aliments produits d’une façon respectueuse du climat

Voici quelques-uns des résultats de la dernière enquête annuelle de la Banque européenne d’investissement (BEI) sur le climat, menée en août 2022 et publiée ce jour. Bras financier de l’Union européenne, la BEI est aussi le premier bailleur de fonds multilatéral au monde pour des projets à l’appui de l’action climatique.

Comportements individuels et durcissement des politiques publiques

La guerre en Ukraine et ses conséquences, y compris la hausse des prix de l’énergie et l’inflation, ont considérablement accru les inquiétudes quant à la baisse du pouvoir d’achat au Luxembourg. Cependant, les changements climatiques restent le plus grand défi, pour la majorité (55 %) des personnes interrogées. La plupart d’entre elles, à savoir 60 %, se disent convaincues que leur comportement individuel peut changer la donne face à l’urgence climatique. Néanmoins, ce pourcentage est inférieur de 12 points à la moyenne de l’UE.

Les jeunes de moins de 30 ans sont plus nombreux que les personnes de plus de 30 ans (72 % contre 57 %) à penser que leur comportement individuel peut avoir une incidence.

Pour beaucoup de personnes, les pouvoirs publics ont un rôle à jouer pour encourager la modification des comportements individuels. Une majorité de personnes au Luxembourg (58 %) sont favorables au durcissement des politiques publiques afin d’induire une modification des comportements des citoyens pour lutter contre les changements climatiques (69 % des personnes de moins de 30 ans interrogées souhaiteraient un tel durcissement).

>@Graphic workshop/EIB

Le choix d’un nouvel emploi

À mesure de l’entrée de nouvelles personnes sur le marché du travail chaque année, les considérations climatiques gagnent en importance dans le choix d’un employeur. Plus de la moitié des résidents luxembourgeois (52 %) déclarent qu’il est important qu’un potentiel futur employeur accorde la priorité au développement durable. Pour 11 % des personnes interrogées, c’est même une priorité absolue.

Parmi les personnes âgées de 20 à 29 ans, généralement celles à la recherche de leur premier ou deuxième emploi, plus des deux tiers (68 %) affirment que le développement durable est un facteur important au moment de faire un choix, et 16 % estiment qu’il s’agit d’une priorité absolue.

>@Graphic workshop/EIB

Étiquetage et tarification des aliments

La production alimentaire est à l’origine d’une part importante des émissions de gaz à effet de serre. Pour aider les particuliers à faire des choix plus durables lorsqu’ils font leurs courses, 80 % des résidents du Luxembourg sont favorables à l’indication de l’empreinte climatique de toutes les denrées alimentaires. Ce chiffre est proche du taux observé en France (83 %), mais 8 points de pourcentage plus élevé qu’en Belgique (72 %).

En outre, 77 % des résidents luxembourgeois se disent prêts à payer un peu plus pour des denrées alimentaires produites localement et de manière plus durable, soit bien plus qu’en France (60 %), et 28 points de pourcentage de plus qu’en Belgique (49 %), ce qui est considérable. Ce consentement à payer plus pour les denrées alimentaires s’étend à tous les groupes de revenu (de 68 % des personnes à revenu faible à 84 % de celles à revenu plus élevé).

Réduire la consommation de viande et de produits laitiers serait un autre moyen efficace de limiter les émissions de gaz à effet de serre. Néanmoins, un peu moins de la moitié des résidents du Luxembourg (49 %) seraient favorables à la limitation de la quantité de viande et de produits laitiers qu’il est possible d’acheter (8 points de pourcentage de moins que les Français, à 57 %, mais un niveau comparable aux Belges, à 48 %).

Les groupes défavorisés sont plus ouverts à cette mesure (59 %) que ceux dont le revenu est plus élevé (45 %). Il existe également un écart générationnel évident, 58 % des personnes de moins de 30 ans étant favorables à une limitation de la consommation individuelle de viande et de produits laitiers, contre seulement 44 % des personnes de plus de 65 ans.

Selon Kris Peeters, vice-président de la BEI,

« les résultats de l’enquête de la BEI sur le climat montrent que les résidents du Luxembourg sont plus que disposés à contribuer, à leur échelle, à la lutte contre les changements climatiques. En tant que banque européenne du climat, nous saluons cet engagement. Notre rôle est de permettre aux individus d’agir pour lutter contre la crise climatique. Pour ce faire, nous finançons des services écologiques tels que les transports durables, les énergies renouvelables et les bâtiments économes en énergie. Et ces projets verts génèrent pour les jeunes Européens de nombreux emplois qui ont du sens. Nous continuerons d’appuyer des projets et initiatives qui accélèrent la transition écologique et cherchent des moyens novateurs de contribuer à un avenir prospère qui ne laisse personne de côté. »

La Task Force a été récompensée pour le rôle important qu’elle a joué en tant que fer de lance du soutien de la communauté nationale de la recherche aux prestataires de soins de santé et au gouvernement pendant la pandémie. Grâce à ses efforts de sensibilisation, la Task Force a diffusé les résultats de la recherche sur le COVID auprès du public et a aidé le gouvernement à prendre des décisions importantes, notamment le lancement du programme de tests à grande échelle. Les efforts de la Task Force ont permis de protéger les plus vulnérables tout en maintenant la société ouverte.

La réponse du Luxembourg à la pandémie a été saluée par l’OCDE, qui a félicité le pays d’avoir créé la Task Force dès le début de la crise. En outre, selon l’OMS, le Luxembourg a enregistré le taux de surmortalité le plus bas parmi les pays européens tout au long de la pandémie, ce qui témoigne du travail impressionnant réalisé par la Task Force.

Les candidats au prix Science for Society sont évalués par un jury indépendant, composé de membres de la communauté scientifique, de décideurs, du secteur technologique et de la presse. Le Fonds National de la Recherche du Luxembourg (FNR) et la Science for Society Foundation remettront le prix de 5 000 euros au lauréat lors d’une cérémonie qui aura lieu ce mois-ci. Le professeur Paul Wilmes, de l’Université du Luxembourg, acceptera le prix au nom de la Task Force.

Depuis quelques années déjà, certaines entreprises ont adopté des “quarts d’heure de sécurité” mensuels entre RH et salariés. Mais en quoi consistent-ils au juste ? Quel est leur but ? Et surtout, comment les organiser ?

Les quarts dheure  ou minutes sécurité sont par définition “des points organisés régulièrement dans lentreprise, pendant le temps de travail, qui impliquent la participation des salariés” – avec des thèmes de fond et/ou ponctuels sur la sécurité et la santé au travail. Durant ces réunions courtes de 15 à 20 minutes, les salariés sont invités à une réflexion consensuelle – pour  la mettre en œuvre par la suite.

Préconisée par l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) et définie par celle-ci comme une bonne pratique du dialogue social, elle n’est pas obligatoire pour les entreprises. Invitée sur le podcast “Culture RH” aux éditions Tissot, Marie Dayot, consultante et formatrice en santé sécurité au travail, recommande des points réguliers, à raison d’une fois par mois.

Ces réunions cherchent à rendre le salarié interlocuteur et surtout acteur de cette démarche de sécurité. C’est aussi l’occasion de rappeler les règles en vigueur au sein de l’entreprise, d’en discuter, de les améliorer… L’opportunité d’ouvrir le débat et de valoriser l’opinion des collaborateurs.

D’un point de vue organisationnel, ce “Tool Box Meeting” apparu dans les années 90, et depuis rebaptisé, est un format léger, informel, très peu coûteux et simple pour les entreprises. Il permet d’avoir une communication non plus uniquement descendante, avec de l’affichage, des instructions etc.. Mais dans les deux sens, en amenant des sujets et en recevant un feedback des employés.

Alors comment l’organiser, l’animer etc… Entourez vous d’abord de volontaires, à tous les niveaux : chef(fes) d’entreprise, infirmier(es), etc. La démarche sera d’autant plus aboutie si les salariés prennent la parole en temps qu’animateur sur un sujet qui les inspire ou s’ils partagent une expérience personnelle. 

Pour récapituler, l’organisation d’un quart d’heure sécurité doit : 

  • avoir une fréquence établie et respectée ; 
  • aborder des sujets concordant avec la nature des risques de l’entreprise ;
  • varier les thèmes, selon le calendrier annuel, la saisonnalité des risques, les grandes journées et les dates anniversaires ;
  • être en phase avec l’actualité ;
  • aborder des enjeux réels de l’entreprise, des sujets de santé ou qui fassent le lien entre vie professionnelle et personnelle (ex : premier secours, travail sur écran, téléphone au travail, stress, etc.).