e-dih luxembourg
© Luxinnovation

The national innovation agency Luxinnovation has announced yesterday that the Luxembourg Digital Innovation Hub (L-DIH) expands to the European level, introducing the European Digital Innovation Hub (E-DIH). It will now represent the single contact point for digital transformation of the industrial sector on the national and european levels.

The Luxembourg Digital Innovation Hub was launched back in 2019 on both the Ministry of the Economy’s and the FEDIL’s initiative. The idea behind was to support the luxembourgish industry sector in its digital transformation, providing additional financial channels and resources. 

“Accelerating digital transformation and the transition to industry 4.0 for the Luxembourg economy to maintain its competitiveness” – Franz Fayot, Minister of the Economy

The appointment of L-DIH as European Digital Innovation Hub (E-DIH) presents as an important step, providing new components – notably in terms of the L-DIH’s operations, structure, and services

The L-DIH consortium encompasses now the Luxembourg House of Cybersecurity, the Luxembourg Institute of Science and Technology (LIST), the University of Luxembourg, and the University of Luxembourg Competence Center. On top of this, the E-DIH network is composed of 170 E-DIH centers across Europe and is part of the Digital Europe Programme

“Becoming an E-DIH will enable L-DIH to answer a wider range of industrial requirements while enhancing a stronger impact in Luxembourg and in Europe. […] The arrival of new members in the consortium enlarges the range of available technical resources and expertise” – Sasha Baillie, CEO (Luxinnovation)

On their side, FEDIL, the Luxembourg Chamber of Commerce, and the Fonds National de la Recherche (FNR) remains L-DIH’s strategic partners so to exploit synergies. 

Besides, the consortium extension amounts to an expansion of L-DIH missions. Until now, L-DIH’s main missions consisted in inspiring, informing, and engaging businesses part of the industrial ecosystem in their digital transformation; there are now three more missions to come, being: 

  • To support digital skills development and relevant trainings 
  • To help businesses in “testing before investing” so as to encourage them to try new digital technologies and evaluate their return on investment (ROI) before investing
  • To help businesses find funding and investment opportunities for their project related to R&D and digital innovation 

The Luxembourg Digital Innovation Hub will be in charge of creating a training catalog listing all available and essential training for digital transformation, and will also lead an analysis of needs so as to complete the existing offer with new training. 

Although L-DIH is to preserve a local orientation, it will take benefit from the E-DIH network to favor closer collaboration and access a larger range of digital competencies and technologies.

european commission iris2

The Commission launches an invitation to tender to procure a concession contract to implement the EU satellite constellation called IRIS² (Infrastructure for Resilience, Interconnectivity and Security by Satellite). The public-private partnership between the Commission and the private sector will ensure common investment into the design, development, deployment and operation of governmental and commercial infrastructure and its use.

This tender is the first step towards the concrete implementation of IRIS², which will benefit from a contribution from the EU budget of €2.4 billion.

The Commission is looking forward to receiving proposals of the whole array of the European industrial ecosystem, from well-established European industries to dynamic SMEs and newcomers. The proposals will be evaluated during a competitive dialogue in view of a contract signature by the beginning of 2024. The provision of full operational capability for governmental services is foreseen in 2027.

The primary objective of IRIS² is to provide Member States with guaranteed access to highly secure, sovereign, and global connectivity services that match their operational needs such as protection of critical infrastructure, surveillance, and support for external action or crisis management as well as military applications. The security of these communications will be based on advanced encryption technologies, including quantum cryptography.

IRIS² will also contribute to the EU’s digital transition and to EU’s Global Gateway Strategy and represents a giant leap for EU’s resilience and technological sovereignty. It aims at enabling the provision of a commercial infrastructure to provide high-speed broadband and seamless connectivity in the EU and also in the geographical areas of strategic interest beyond the European borders, such as the Arctic region and Africa.

The current geopolitical context demonstrates how crucial space-based sovereign and secure communication services are in times of crises. This ambition can only be achieved by combining the driving force of the public sector and the know-how of the private sector.

dell nouveau appareils logiciels
© Dell Technologies

Avec ses nouveaux ordinateurs portables Latitude, ses stations de travail Precision et ses ordinateurs de bureau Optiplex, Dell présente des appareils dernier cri qui permettent aux professionnels de collaborer encore plus efficacement. Que ce soit à la maison ou au bureau, le nouveau hardware Dell fait passer les entreprises à la vitesse supérieure en matière de connexion et de collaboration.

Dell s’est donné pour objectif de lever les obstacles qui entravent les expériences de travail. C’est dans cette optique que Dell développe des innovations pour son portefeuille d’appareils et de logiciels. Dell a renouvelé son portefeuille professionnel avec des designs revus, des fonctions de collaboration inédites et des performances supérieures. Outre les ordinateurs portables et les stations de travail, la gamme d’ordinateurs de bureau a également été simplifiée et un nouveau moniteur y a été adjoint. Le but est de permettre aux entreprises d’atteindre leurs objectifs tout en allégeant la charge quotidienne des départements informatiques.

Hardware amélioré

La nouvelle offre de Dell allie un design actuel, une productivité en hausse, des performances fiables et une collaboration transparente. La nouvelle gamme Latitude comprend des fonctions avancées de collaboration audio et vidéo, des matériaux durables et une technologie de clavier micro-LED permettant d’économiser la batterie :

  • Le Latitude 9440 est un ordinateur portable 2-en-1 haut de gamme dont le design s’inspire de la gamme XPS. Le Latitude 9440 se distingue par un look épuré, fluide et simplifié. Conçu pour les cadres, les consultants ou les vendeurs, il est doté du premier pavé tactile haptique de collaboration au monde, pour une expérience de réunion plus immersive et personnalisable. Les fonctions d’activation/désactivation du microphone et de la caméra, de partage d’écran et de chat sont à portée de main sur le pavé tactile pendant les appels Zoom, et la fonctionnalité Microsoft Teams sera mise à disposition dans l’année. L’ordinateur 2-en-1 est en aluminium usiné pour un look haut de gamme, et dispose d’un nouveau clavier superbe avec des touches plus larges et sans espace, baptisé « zero-lattice », qui permet de travailler dans le confort toute la journée durant.

dell

  • Les ordinateurs portables compacts Latitude 7340 et 7440 Ultralights se glissent facilement dans un sac pour ceux qui passent d’une réunion à l’autre. Les deux ordinateurs pèsent environ 1 kilo et sont résistants malgré leur poids plume. Dotés d’une caméra 5 MP et d’un écran de 14 et 13,3 pouces respectivement, ce sont les ordinateurs portables professionnels haut de gamme les plus petits et les plus légers au monde. Incontournable pour un poste de travail productif et convivial en déplacement.

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Les nouvelles stations de travail Precision s’adressent aux concepteurs, ingénieurs et autres professionnels qui attendent le maximum de leur hardware. Ces appareils donnent la priorité aux performances et aux capacités graphiques pour exécuter des applications et des logiciels gourmands en ressources graphiques – que ce soit au bureau, en studio ou en déplacement. Toutes les stations de travail Precision mobiles et fixes bénéficient des derniers processeurs Intel® Core™ de 13e génération et des cartes graphiques NVIDIA RTX Ada Generation Laptop.

  • La Precision 5480 brille par ses performances de pointe, depuis le processeur jusqu’à la carte graphique et au-delà. Et ce n’est pas tout : Dell a ajouté une station de travail mobile de 16 pouces à la série 5000.
  • La Precision 5680 se distingue par le plus petit encombrement au monde – 16 pouces – tout en offrant d’excellentes performances, puisqu’elle dispose (au maximum) d’Intel® Core™ i9 (45W) et de 64 Go de mémoire DDR5 avec la carte graphique NVIDIA RTX™ 5000 Ada graphics Generation Laptop. Élégante et légère, la Precision 5680 offre une expérience encore plus puissante et immersive avec l’écran 16:10 et jusqu’à UHD+ avec PremierColor. Comme les graphismes époustouflants nécessitent beaucoup de puissance, le refroidissement est extrêmement important pour la Precision 5680. C’est pourquoi nous avons ajouté notre technologie brevetée de ventilateur Dual Opposite Outlet, qui permet au système de gérer des flux de travail plus complexes et des applications intensives. Avec un port HDMI, un emplacement pour carte SD de taille normale et un lecteur de carte à puce en option, les concepteurs et les ingénieurs disposent d’outils fiables et sécurisés pour mener à bien leur travail.

dell

Dell a aussi revu l’ensemble de la gamme Precision, depuis les stations de travail mobiles d’entrée de gamme 3000 Series jusqu’aux puissantes stations de travail mobiles, en tour et en rack, Precision 7000 Series. Elles bénéficient toutes de certifications ISV. Ainsi, que les utilisateurs spécialisés aient besoin de flux de travail en 2D ou en 3D ou qu’ils cherchent à repousser les limites de la technologie, les stations de travail Precision ont les performances, la vitesse et la fiabilité qui leur permettent de réaliser leurs idées.

Trois décennies d’innovation continue en matière d’ordinateurs de bureau ont abouti au renouvellement de la gamme OptiPlex. Dell a écouté ses clients et a rendu les ordinateurs de bureau Optiplex plus faciles à configurer, à acheter et à gérer. La gamme a été simplifiée pour que les clients puissent choisir rapidement un système en fonction de leurs besoins en termes d’espace de travail et de performances. Par exemple, vous avez le choix entre des designs peu encombrants et des configurations desktop minimalistes avec un large éventail de performances, ou vous pouvez privilégier l’extensibilité et les performances d’une tour desktop.

dellDell a en outre rendu la gamme plus intelligente, permettant aux administrateurs informatiques de gérer aisément plusieurs, voire des milliers d’appareils avec un nouveau paramètre unique du BIOS, pour un gain de temps considérable. Le produit phare est l’OptiPlex All-in-One, qui offre confort et style dans un design épuré et est doté de fonctions intégrées de collaboration, de sécurité et de confidentialité.

Un écosystème connecté

Une configuration de travail moderne nécessite des logiciels et des solutions d’écosystème adaptés au PC afin de maximiser la productivité dans les meilleures conditions.

Le nouveau Dell UltraSharp 49 Curved USB-C Hub Monitor est conçu pour les professionnels qui veulent une productivité multi-écrans. L’écran ultra-large – un double moniteur QHD incurvé de 49 pouces qui permet de diviser l’image en deux partitions QHD de 27 pouces – rend le multitâche encore plus fluide. L’écran permet de connecter et d’afficher le contenu de deux PC simultanément sur un seul moniteur. La technologie de dalle IPS Black avec un rapport de contraste de 2000:1 atteint un contraste de couleurs deux fois supérieur à celui de l’IPS classique, le tout avec un grand angle de vision. L’USB-C Hub Monitor propose un éventail d’options de connectivité pour alimenter les ordinateurs portables jusqu’à 90 W et établir une connexion 2,5 GbE via le port Ethernet intégré. Enfin, le moniteur est doté de la fonction ComfortView Plus pour un meilleur confort oculaire, et la fonction pop-out intégrée offre un accès rapide aux ports afin de faciliter la connexion de périphériques externes.

Un nouveau logiciel améliore l’expérience utilisateur

Dell ne néglige pas non plus la partie logicielle. La dernière version de Dell Optimizer étend l’intelligence du PC au reste de l’écosystème. Les utilisateurs peuvent ainsi gérer plus facilement les écrans et les périphériques dans une interface unique. Les capacités audio intelligentes des PC ont également été améliorées. La fonction d’annulation de l’écho supprime les échos gênants pour tous les participants à la conversation, et la surveillance de la qualité de la voix affiche un pop-up lorsque celle-ci est médiocre.

Une attention particulière a été portée au développement durable et à la sécurité
Dell cherche constamment à moderniser ses produits et à satisfaire ses clients dans ces domaines critiques.

Durabilité : Dell ne cesse d’innover et d’investir dans la conception durable de tous ses produits et emballages. L’utilisation d’aluminium à faible teneur en carbone et avec davantage de matériaux recyclés est étendue à une plus grande partie de la gamme, notamment le Latitude 9440 et la Precision 5680, et plus tard cette année la série Latitude 7000. Le pourcentage de matériaux recyclés après consommation a été accru afin de réduire encore l’impact environnemental de la série d’ordinateurs portables Latitude les plus durables, des stations de travail Precision 3000 Series et des derniers moniteurs professionnels. Enfin, le « mode silencieux » dans les paramètres de gestion thermique de Dell Optimizer permet d’économiser jusqu’à 18 % d’énergie.

Sécurité et facilité de gestion : Dell s’attache à concevoir les PC commerciaux les mieux sécurisés du secteur et à créer un espace de travail fiable grâce à une protection hardware et logicielle. Ces efforts incluent un partenariat avec CrowdStrike, une offre de sécurité pour la chaîne d’approvisionnement hardware et des services gérés de détection et de réponse qui aident les clients à faire face aux menaces de sécurité. Dell met tout en œuvre pour rendre les appareils aussi faciles que possible à gérer, à déployer et à utiliser.

Disponibilité

– Le Latitude 9440 sera bientôt disponible.
– Les Latitude 7340/7440 Ultralight, 7340/7440/7640 et Latitude 5340/5440/5540 seront disponibles à partir du 23 mars.- Les stations de travail mobiles de la série Precision 3000 seront disponibles à partir du 23 mars.
– La Precision 5480 sera disponible le 20 avril.
– La Precision 5680 sera disponible le 18 mai.
– La Precision 5860 Tower sera disponible le 11 avril.
– Les stations de travail mobiles de la série Precision 7000 seront disponibles le 23 mars.
– Les modèles Precision 7960 Rack et Tower seront disponibles le 11 avril.

nutanix enterprise cloud index

Nutanix, un leader du cloud computing dans les environnements privés, hybrides et multicloud annonce les résultats de la cinquième édition de son étude annuelle Enterprise Cloud Index (ECI), mesurant les progrès réalisés par les entreprises dans l’adoption du cloud.

Cette année, l’étude ECI montre que l’infrastructure informatique est de plus en plus diversifiée et que les entreprises sont confrontées au défi de l’intégration de la gestion et du contrôle de leurs données. L’étude montre aussi que la majorité des équipes IT exploitent plus d’une infrastructure informatique, une tendance qui devrait s’intensifier à l’avenir, mais qu’elles éprouvent des difficultés à assurer la visibilité des données dans les différents environnements, seuls 40% d’entre elles déclarant avoir une visibilité complète de l’emplacement de leurs données.

Dans les années à venir, des centaines de millions d’applications seront créées, ce qui générera des quantités de données sans précédent“, déclare Lee Caswell, SVP, Product and Solutions Marketing chez Nutanix. “Les organisations sont aux prises avec la gestion actuelle des applications et des données à la périphérie, dans les différents clouds et au cœur de l’entreprise. Ce que cette édition de l’Enterprise Cloud Index montre et ce que nous entendons de la part des clients, c’est que le marché a besoin d’un modèle d’exploitation de cloud qui permette de construire, opérer, utiliser et gouverner un multicloud hybride pour supporter tous les types d’applications.

Les principales conclusions de la nouvelle étude Enterprise Cloud Index de Nutanix sont les suivantes :

  • La plupart des organisations utilisent plus d’un type d’infrastructure informatique, et presque toutes conviennent que l’idéal serait de disposer d’une plateforme unique pour les gérer toutes de manière cohérente. La majorité (60 %) des équipes IT utilisent plus d’une infrastructure informatique, qu’il s’agisse d’un mélange de clouds privés et publics, de plusieurs clouds publics ou d’un datacenter sur site et d’un datacenter hébergé. Ce chiffre devrait atteindre près des trois quarts (74 %) dans un avenir proche. Toutefois, cette situation pose des problèmes et 94 % des entreprises déclarent qu’il leur serait utile de disposer d’un lieu unique pour gérer les applications et les données dans les différents environnements.
  • Les considérations relatives à la sécurité et à la gestion des données déterminent les choix en matière d’infrastructure informatique. Les données déterminent les décisions des entreprises en matière d’infrastructure, de sécurité, de protection et de récupération des données, ainsi que de souveraineté, en tête de liste des facteurs clés. Cependant, la visibilité est un défi croissant. Alors que 94 % des personnes interrogées reconnaissent qu’il est important d’avoir une visibilité complète, seulement 40 % des personnes interrogées dans le cadre du rapport ECI déclarent avoir une visibilité complète de l’endroit où résident leurs données.
  • Le contrôle des coûts de l’informatique dématérialisée est l’un des principaux défis de la gestion des technologies de l’information. Parmi les personnes interrogées, 85 % considèrent que le coût du cloud est un problème de gestion informatique, et plus d’un tiers (34 %) le considèrent comme un défi “important”. Plus précisément, la migration des applications entre les clouds est actuellement un point douloureux pour les organisations, avec 86 % des personnes interrogées qui reconnaissent que le déplacement des applications entre les environnements peut être complexe et coûteux. En outre, près de la moitié des personnes interrogées (46 %) prévoient de rapatrier certaines applications dans des datacenters sur site afin de réduire les coûts liés à l’informatique dématérialisée au cours de l’année à venir.
  • Presque toutes les personnes interrogées (96 %) ont commencé à utiliser le système Open Source Kubernetes. Mais ils citent la conception et la configuration de l’infrastructure sous-jacente, du stockage et des services de base de données parmi les principaux défis qu’ils continuent de rencontrer dans leurs déploiements Kubernetes.
  • Le développement durable est désormais une priorité informatique. Presque toutes les personnes interrogées (92 %) reconnaissent que la durabilité est plus importante pour leur organisation qu’elle ne l’était il y a un an. Ce changement de priorité est principalement dû aux initiatives des entreprises en matière de RSE (63 %), aux perturbations de la supply chain (59 %) et aux décisions d’achat des clients (48 %).

Au cours des cinq dernières années du Enterprise Cloud Index, les répondants ont radicalement changé en faveur de l’utilisation d’environnements informatiques multiples. En 2018, plus de la moitié des répondants déclaraient qu’ils pourraient envisager d’exécuter un jour toutes les charges de travail exclusivement dans un cloud privé ou dans un cloud public. Plutôt que de travailler à la consolidation sur une infrastructure ou un modèle d’exploitation informatique particulier, comme cela semblait souhaitable en 2018, la plupart des entreprises voient désormais l’inévitabilité, et même les avantages, de l’exécution des charges de travail dans le cloud public, sur site et à la périphérie.

L’objectif des organisations est désormais de rendre ce modèle d’exploitation hybride plus efficace, en particulier lors de la gestion des environnements informatiques entre la périphérie et le cœur de l’entreprise. La diversité croissante des déploiements dans le cloud crée une énorme complexité dans la gestion des données des applications dans les environnements cloud. Les outils complets qui permettent aux organisations de provisionner, déplacer, gérer, surveiller et sécuriser les applications et les données à partir d’une console unique et de manière uniforme sont devenus une priorité pour les services informatiques. Presque toutes les personnes interrogées déclarent qu’il leur serait utile de disposer d’un plan de contrôle unique et unifié pour gérer les applications et les données dans divers environnements.

Pour la cinquième année consécutive, Vanson Bourne a mené une étude pour le compte de Nutanix, en interrogeant 1 450 décideurs informatiques à travers le monde entre décembre 2022 et janvier 2023. La base de répondants couvre de multiples industries, tailles d’entreprises et les zones géographiques suivantes : les Amériques ; l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA) ; et la région Asie-Pacifique-Japon (APJ).

Pour en savoir plus sur le cinquième rapport Enterprise Cloud Index et ses résultats, il est possible de le consulter ici (en anglais).

instagram new ads tools

Way more ads on Instagram! Meta introduced in a blog post two new upcoming ads tools among its existing options dedicated to advertisers: Reminder Ads and Ads in Search Results.

It appears clear that Meta is willing to highlight and boost ads within the toolset it offers advertisers to enhance their businesses and brands. 

“We’re introducing two new ad products that give businesses more ways to get discovered and form meaningful connections” – Meta

Meta disclosed its partnership with brands such as Starz, testing a new ad format to “announce, remind and notify people of future events or launches that they might be interested in”. This means that, when launching a new ad, advertisers will now have the possibility to set this new option – called Reminder ads

As explained in the blog post, the purpose of the latter is designed to help and support advertisers in raising awareness, anticipation, and even consideration for upcoming events. The post specifies that Instagram users are offered “convenient reminders”, which notify them one day before, 15 minutes before, and at the time of the event. 

reminder ads instagram

Brands offering live events/streaming (concerts, sports, movies) might be the most likely to make the most of Reminder Ads. Influencers could also leverage this new tool so as to promote their live sessions on Instagram. 

On the other hand, Meta launches Ads in Search Results. Just like Google, Instagram will enable advertisers to insert their ads in search results and also, beforehand, to choose keywords they wish to appear with. 

ads in search results instagram

Representing the main source of Meta’s earnings, all these changes come after a reshuffle of its ads strategy, in order to encourage businesses/brands to (re)invest in Instagram – and other Meta’s platforms. A few weeks ago, Meta also presented its Advantage+ plan which aims to automate and simplify ads creation processes. 

Meta seems to work twice as hard to innovate and to hopefully get back on even keel!

large language models

What could be the impact of large language models, such as GPT? This is the question that researchers from OpenAI, OpenResearch, and the University of Pennsylvania investigated in a study report published yesterday. It revealed that 80% of the workforce could be affected.

The field of generative AI and large language models (LLMs) has experienced considerable progress over the last few years, months, and even weeks – notably with the introduction of GPT-4. As a reminder, LLMs can “process and produce various forms of sequential data, including assembly language, protein sequences and chess games, extending beyond natural language applications alone”, notes the report. 

As the researchers explain, their study aims to investigate the potential implications of generative Pre-trained Transformer (GPT) models and related technologies rather than “the progress of these models alone”. And the results are rather concerning for job positions. 

Both human and GPT-4 annotations suggest and indicate that, based on their task-level capabilities, GPTs have the potential to “significantly affect a diverse range of occupations within the U.S. economy, demonstrating a key attribute of general-purpose technologies”. On the one hand, the numbers show that 80% of the workforce has an occupation with at least one task exposed to GPTs; while, on the other hand, 19% of the workforce belong to an occupation where “over half of their tasks are labeled as exposed” – meaning LLMs could strongly affect them

When it comes to skills, the study’s findings show that science and critical thinking ones are less likely to be impacted by current LLMs compared to programming or writing skills; meaning that their chances to be influenced by LLMs are higher. 

Overall, job positions in the sector of finance, journalism, engineering, education, and also graphic design, are the most exposed.  

As the authors mentioned, the research and results present limitations in the sense that the study focuses on the United States; findings could indeed differ from a country to another, considering factors such as industrial organization, technological infrastructure, or regulatory frameworks, among others. Besides, they note that “there may be discrepancies between theoretical and practical performance, particularly in complex, open-ended, and domain-specific tasks”. 

On top of this, the study specifies that it would be rare to find LLMs or other AI tools that could fully take over an entire job position. “Further research is necessary to explore the broader implications of GPT advancements, including their potential to augment or displace human labor, their impact on job quality, impacts on inequality, skill development, and numerous other outcomes”, state the authors.  

On his side, OpenAI CEO Sam Altman admitted that AI, as it is growing unerring and more powerful, will likely replace some jobs in the near future. And this could happen sooner than expected. 

ending greenwashing

Today, the Commission is proposing common criteria against greenwashing and misleading environmental claims. Under today’s proposal, consumers will have more clarity, stronger reassurance that when something is sold as green, it actually is green, and better quality information to choose environment-friendly products and services.

Businesses will also benefit, as those that make a genuine effort to improve the environmental sustainability of their products will be more easily recognised and rewarded by consumers and able to boost their sales – rather than face unfair competition. This way, the proposal will help establish a level playing field when it comes to information about environmental performance of products.

Commission study from 2020 highlighted that 53.3% of examined environmental claims in the EU were found to be vague, misleading or unfounded and 40% were unsubstantiated. The absence of common rules for companies making voluntary green claims leads to ‘greenwashing’ and creates an uneven playing field in the EU’s market, to the disadvantage of genuinely sustainable companies.

Reliable, comparable and verifiable information for consumers

According to the proposal, when companies choose to make a ‘green claim’ about their products or services, they will have to respect minimum norms on how they substantiate these claims and how they communicate them.

The proposal targets explicit claims, such as for example: ‘T-shirt made of recycled plastic bottles‘, ‘CO2 compensated delivery‘, ‘packaging made of 30% recycled plastic‘ or ‘ocean friendly sunscreen‘. It also aims to tackle the proliferation of labels as well as new public and private environmental labels. It covers all voluntary claims about the environmental impacts, aspects or performance of a product, service or the trader itself. However, it excludes claims that are covered by existing EU rules, such as the EU Ecolabel or the organic food logo, because the current laws already ensure that these regulated claims are reliable. Claims which will be covered by upcoming EU regulatory rules, will be excluded for the same reason.

Before companies communicate any of the covered types of ‘green claims’ to consumers, such claims will need to be independently verified and proven with scientific evidence. As part of the scientific analysis, companies will identify the environmental impacts that are actually relevant to their product, as well as identifying any possible trade-offs, to give a full and accurate picture.

Clear and harmonised rules and labels

Several rules will make sure that claims are communicated clearly. For example, claims or labels that use aggregate scoring of the product’s overall environmental impact, will no longer be permitted, unless set in EU rules. If products or organisations are compared with others, such comparisons should be based on equivalent information and data.

The proposal will also regulate environmental labels. There are currently at least 230 different labels and there is evidence that this leads to consumer confusion and distrust. To control the proliferation of such labels, new public labelling schemes will not be allowed, unless developed at EU level, and any new private schemes will need to show higher environmental ambition than existing ones and get a pre-approval to be allowed. There are detailed rules about environmental labels in general: they must also be reliable, transparent, independently verified, and regularly reviewed.

emilie deom sap luxembourg

L’année 2022 s’est révélée préjudiciable pour les entreprises en termes de cybersécurité : les avancées technologiques ainsi que le contexte géo-économique viennent alimenter les risques d’attaques. Prenant ces problématiques en compte, Emilie Deom, Industry Account Executive chez SAP, nous en dit plus sur la démocratisation du cloud au Luxembourg.

L’année dernière, les entreprises étaient confrontées à de nouveaux défis, notamment en ce qui concerne la cybersécurité. Avez-vous remarqué des changements au niveau des attentes des clients ?

Les pénuries de ressources dans la sécurité informatique, accompagnées du nombre croissant d’attaques, ont clairement permis de (re)mettre la cybersécurité au centre des discussions. Par conséquent,  nous constatons un certain mouvement sur le marché luxembourgeois – qui était relativement conservateur; et qui s’intéresse donc davantage aux solutions cloud.

Autrement dit, nous avons remarqué un intérêt grandissant pour les solutions Software-as-a-Service (SaaS), tel que le cloud SAP. Les clients peuvent ainsi externaliser et déléguer la responsabilité, mais aussi bénéficier des investissements colossaux de SAP en termes de sécurité informatique. Plusieurs milliers de clients utilisent notre solution S/4HANA Cloud et disposent alors d’une sécurité de classe mondiale. De quoi faire confiance à SAP pour ses processus business, mais aussi pour la sécurité.

Quand il s’agit de résoudre ces problèmes – entre autres – SAP propose un large éventail de solutions adaptées. Pouvez-vous expliquer en quoi les solutions SAP aident à optimiser leur processus ?

Il faut avant toute chose avoir une bonne vue sur les processus, ce qui n’est pas toujours évident. Nous avons pour cela des outils, tels que Signavio qui permet de cartographier les processus de façon automatisée, repérer les défauts aisément et de quantifier la valeur des améliorations apportées à ces processus en quelques clics. Cet outil permettra par la suite d’imposer une gouvernance optimale et d’automatiser tout ce qui peut l’être. Il s’agit là de la première étape d’une transformation digitale.

Nous pouvons ensuite implémenter en toute connaissance de cause notre ERP, S/4 HANA. Basée sur les best practices spécifiques par industries, les sociétés peuvent ainsi optimiser et simplifier les processus dans une tendance de digitalisation, avant de les automatiser.

L’idée est donc pour SAP d’inclure l’intelligence artificielle, les robots, les chatsbots et toute autre innovation au cœur de son système pour améliorer la vie des utilisateurs et des sociétés.

Lorsqu’un client vous contacte pour en savoir plus sur vos services et solutions, à quoi peuvent-ils s’attendre ?

Je dirais qu’il y a trois points principaux qui nous différencient.

Les clients s’attendent tout d’abord à ce que l’on connaisse leur business. Étant présent sur le marché depuis 50 ans, SAP est spécialisé dans de nombreux types d’industries. SAP a développé et digitalisé plus de 600 business processes – ce qui permet de faciliter et d’accélérer le déploiement d’un ERP.

Ils s’attendent d’autre part à ce qu’on puisse donner accès à tout un écosystème – ce qui est une priorité pour un vendeur de solutions business comme SAP. Il ne suffit pas d’avoir une bonne plateforme digitale, il faut également, et surtout, avoir les personnes compétentes pour l’implémenter. D’autant plus que l’environnement est très dynamique au Luxembourg; il comprend plusieurs sociétés spécialisées dans des industries particulières et dans des déploiements de solutions SAP.

La solution cloud SAP est déjà très complète, offrant des fonctionnalités supplémentaires pour couvrir des processus business particulier’

Cependant, notre plateforme est très ouverte d’un point de vue technique, c’est-à-dire que plusieurs applications externes peuvent y être intégrées via notre Business Technology Plateform (BTP).

Evidemment, SAP offre un large éventail de solutions spécialisées en dehors de l’ERP : RH, Customer Experience, gestions des notes de frais, entre autres. Et ces dernières peuvent évidemment s’intégrer entre elles ou avec l’ERP, ce qui permet d’avoir différentes applications sous un même socle, sans devoir maintenir des interfaces.

Quels sont les défis actuels pour les entreprises Luxembourgeoises ? Et comment la digitalisation peut-elle apporter des solutions ?

Si on considère la situation économique actuelle, il y a deux grands points sur lesquels on voudrait se concentrer : la chaîne d’approvisionnement (supply chain), et l’impact sur l’environnement.

Il est important de souligner dans un premier temps que la chaîne d’approvisionnement a totalement été repensée en 2022 : à cause du manque de matières premières, de pièces mécaniques, de composants IT, ou encore de médicaments. Les sociétés – tout secteur confondu – nous parlent de ce même problème d’approvisionnement, qui représente un risque à la fois pour la pérennité de leur entreprise, mais aussi pour leur capacité à satisfaire leurs clients.

Autrement dit, le rapport de force entre un client et un fournisseur est désormais inversé. Mais cette situation a cependant permis – au niveau européen – de mettre la lumière sur l’importance d’une chaîne d’approvisionnement stable et locale; et, dans ce cadre-là, le business network démontre toute sa valeur et son importance. C’est pour cela que SAP met à disposition une plateforme de communications entre les clients et les acheteurs, et crée un business network avec tous vos partenaires business pour justement accroître la visibilité sur cette chaîne d’approvisionnement – et l’optimiser.

D’autre part, les entreprises deviennent plus soucieuses de leur empreinte carbone. Certaines par conviction, d’autres à cause des nouvelles législations à venir, ou encore parce que les clients/talents qu’ils ciblent attendent d’elles une position très claire sur le sujet. On voit qu’il s’agit en effet d’un critère pour les jeunes générations avant d’accepter un contrat dans une société. Mais comment répondre concrètement à cette demande ?

Notre ERP S/4HANA dispose de données suffisantes pour les traduire en impact carbone. C’est par ce biais qu’on propose de construire un vrai P and L (Profit & Loss) carbon, pour ainsi mesurer l’impact de l’entreprise pour ou contre son but d’avoir zéro émission. Cet outil permet alors de réaliser un tracking sur différents aspects :

  • zéro déchet, c’est-à-dire repenser les processus business, qu’ils concernent les chaînes d’approvisionnement ou de valeur
  • zéro émission, dans le but de réduire au maximum les émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale
  • zéro inégalité, qui vise à optimiser la responsabilité sociale des entreprises (santé, inclusion, diversité, bien-être, etc)

Nous avons aujourd’hui les outils et la capacité de faire un reporting global et holistique sur ces différents aspects, atteindre le zéro, et avoir le minimum d’impact sur la société.

When the COVID-19 pandemic changed how we work and transact, the financial services industry discovered the limits of legacy technologies that ensured compliance but offered very little in the way of flexibility. Other sectors were already using cloud technologies to be more agile, and could therefore adapt better to change.

It would be a mistake, though, to say that innovation is held back by compliance and security requirements. Rather, industry regulations are established to support responsible innovation.

Technologies like the cloud may require us to rethink security and compliance, but that doesn’t mean we have to compromise in these areas. If anything, more effort may be needed to understand these technologies and apply the features that give more control.

That is not a novel observation, yet many organizations still struggle to put it into action.

See cloud as an enabler

Most organizations remain in the early stages of their cloud strategy, planning the best way forward. One of the obstacles they face is an organizational “immune system” that is resistant to change: “We did it like that for many years and it worked! So why change?”

The reason is simple: the cloud is not just an evolution of technology but also a business enabler.

Does this mean organizations in the financial sector should leave behind their current infrastructure and move everything to the cloud? Probably not. The cloud is not the solution to every workload challenge.

But, for modern workloads driven by AI and analytics, it makes more sense to use what already exists in the cloud than to reinvent the wheel in a legacy on-premises environment. Your time to market will improve, your total cost of ownership will be lower and, down the line, your return on investment will be higher.

Start with clear business goals

To make a success of your journey to the cloud, first define the business objectives you want to achieve – clearly. Once you’ve determined how you want to use it, measure your progress regularly in terms of your organization’s key business indicators.

Then you can start looking at other areas of the cloud in more depth: governance, economics, networking, security, compliance, operations and DevOps.

Accelerate your cloud optimization

Crafting the perfect cloud strategy is likely to be complex and time-consuming. But why go it alone?

Using a managed service provider like NTT that has cloud expertise and extensive experience with clients in the financial industry can accelerate this process significantly, from design and deployment to management and optimization, and across on-premises, private or public clouds.

Read more about NTT’s Multicloud as a Service

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Force est de constater que, peu importe le secteur d’activité et la taille… toutes les entreprises évoluent dans un environnement nécessitant souplesse, agilité et capacités à réagir spontanément, en permanence ! Or, ces compétences, qui ont trait au savoir-être, ne s’acquièrent pas lors d’une formation technique ou universitaire. Dès lors, il est urgent pour les entreprises d’identifier l’ensemble des savoir-être qui la définisse pour créer un cadre commun.

Par définition, le savoir-faire est la capacité à mettre ses connaissances au service d’une fonction. Le savoir-être, quant à lui, fait référence à la capacité d’une personne à s’adapter dans un environnement particulier pour remplir une mission précise. Cette aptitude est indispensable pour nous adapter à toutes les situations. Il est donc logique que nous ayons tous des savoir-être, mais comment l’entreprise peut-elle les utiliser à bon escient?

L’alchimie du savoir-être et du savoir-faire

Le savoir-être, c’est ce que nous sommes : notre attitude, notre caractère, notre état d’esprit ou nos aptitudes et compétences en matière de relations interpersonnelles. Ces compétences comportementales sont le plus souvent déterminées par nos expériences de vie telles que nos amitiés et nos relations aux autres, l’éducation que nous avons reçue, nos valeurs, nos croyances, notre éthique personnelle, etc. Au fond, il s’agit de nos compétences relationnelles.

Le savoir-faire est l’expérience pratique qui témoigne de la maitrise technique d’un domaine et qui permet l’application d’une connaissance, d’un savoir. C’est donc l’habileté à mettre en œuvre son expérience et ses connaissances acquises dans un art ou un métier quelconque.

Le savoir-être est personnel et donc indispensable et indissociable du savoir-faire. En d’autres termes, le savoir-faire à lui seul ne suffit pas pour atteindre les objectifs du collectif. Ce sont deux composantes majeures de la compétence. Il s’agit effectivement d’un combo gagnant. Cette alchimie a un impact réel sur le climat social, la productivité, la marque employeur et client, la communication et bien d’autres éléments utiles au bon fonctionnement de l’entreprise.

Co-construire un nouveau cadre de compétences

À l’avenir, nous devrons travailler par compétences. Si la dynamique n’est pas nouvelle, elle nécessite de rendre ces dernières tangibles et de les traduire en comportements ainsi qu’en capacités. C’est précisément à ce stade que le savoir-être entre en jeu. Chaque entreprise doit réfléchir à ce que cela signifie réellement pour elle.

A titre d’exemple, la proactivité chez un assureur implique de décrocher son téléphone pour appeler un partenaire et travailler à imaginer des solutions sur un dossier. Pour une société de conseils, la proactivité tient à la capacité à développer des offres de services ou à prendre les devants sur les attentes d’un associé en pleine « busy season ».

Tout l’enjeu réside dans la définition de ces savoir-être car il n’y aura pas de catalogue. Les équipes dirigeantes devront investir du temps pour clarifier ce qu’elles attendent concrètement en termes de comportement et se positionner sur les récompenses ou les éventuelles sanctions à appliquer face à des comportements contraires à l’objectif.

Pour définir ce cadre, il est nécessaire de construire les standards collectivement en s’appuyant sur les comportements déjà existants au sein de l’organisation. Il est également utile de s’inspirer de ce qui se fait ailleurs. A ce titre, une learning expedition sur un format voyage de découverte pour rencontrer d’autres entreprises, cultures, univers inspirants ou façons de faire, penser, concevoir, est un puissant levier d’innovation.

Dans cette phase passionnante de co-construction, l’intervention des accompagnants est primordiale pour aider à définir un plan d’action, faciliter les échanges pour les sociétés qui auront choisi la co-construction, et gérer ces projets.