Après une vague de licenciements chez les géants de la Tech, c’est au tour d’Accenture de sabrer dans l’emploi.

Selon les derniers chiffres publiés par le célèbre cabinet de conseil américain, Accenture affichait une bonne santé financière, avec un chiffre d’affaires qui s’élevait à 61,6 milliards de dollars pour l’année fiscale 2022, soit 22% de plus qu’en 2021. 

Un enthousiasme que ne semble pas partager la Chief Financial Officer (CFO), KC McClure. Selon elle, tout comme pour le secteur de la Tech, le contexte économique actuel oblige le secteur du conseil à revoir ses coûts à la baisse, notamment en taillant dans le personnel – recruté en masse durant la pandémie. 

Accenture a ainsi annoncé jeudi dernier la suppression de 19 000 postes dans les 18 prochains mois, dans le cadre d’une restructuration qui évoque “l’inflation” et la “hausse des salaires”. Selon un document déposé auprès du régulateur boursier américain, la SEC, plus de la moitié des fonctions concernées seraient d’ordre administratif ou de support, c’est-à-dire non facturées aux clients. 

« Nous prenons des mesures pour réduire nos coûts au cours de l’exercice 2024 et au-delà tout en continuant d’investir dans notre entreprise et nos collaborateurs »,

a récemment expliqué la PDG de l’entreprise, Julie Sweet, dans un communiqué.

Mais suite aux révélations de Bloomberg le mois dernier sur l’intention de McKinsey de se séparer de 2 000 salariés et la vague de licenciements chez les géants de la Tech, doit-on redouter une onde de choc chez les cabinets de conseil qui les accompagnent ? Le doute est permis. 

launch 3D printed rocket relativity space
© Relativity Space

Last Wednesday, Relativity Space became the first startup to launch Terran 1, an almost entirely 3D-printed rocket, after two attempts were canceled. This marks a turning point for one of the most promising new space companies.

Relativity Space’s Terran 1, a two-stage expendable rocket, is the largest 3D printed object to exist and to attempt orbital flight. The company’s first Terran 1 vehicle is 85% 3D printed by mass. Launched last Wednesday from Cape Canaveral, Florida, the rocket carried the first metal produced from Relativity’s 3D printing system.

Terran 1 unfortunately failed to reach orbit after the second stage engine ignited only momentarily: the reason for the failure is not clear to this day. 

Although Terran 1 failed to reach orbit, it nevertheless represents an accomplishment for Relativity Space, as Terran 1 successfully endured Max-Q (maximum dynamic pressure) – which actually refers to the moment representing the most stress on the 3D-printed design. This first Relativity’s rocket launch was actually a step towards development of future and more powerful rockets. 

“We successfully made it through Max-Q, the highest stress state on our printed structures. This is the biggest proof point for our novel additive manufacturing approach. Today is a huge win, with many historic firsts. We also progressed through Main Engine Cutoff and Stage Separation” Relativity Space

Relativity Space has used the expendable Terran 1 in order to prove the viability of its larger and heavy-lift Terran R rocket, which is expected to be the biggest company’s revenue. This yet-to-be-launched rocket is entirely made from 3D-printed materials and is hence fully reusable, including its engines, first stage, second stage, and payload fairing. 

Terran R is to provide both commercial and government customers affordable access to space, being in low-Earth orbit (LEO) and beyond. It is planned to offer customers a point-to-point space freighter capable of missions between the Earth, Moon, and Mars. 

The launch of the latter is planned next year, in 2024; in the meantime, Relativity Space will assess Terran 1’s flight data. As market opportunity is rather open at the moment, it would be of interest to Relativity Space to prove a successful launch as soon as possible. In part because legacy companies, such as United Launch Alliance, are months away from launching their next-generation rockets. 

isabelle schummers green business events luxembourg

Le 1er février dernier, le Ministère de l’Économie a rendu public son projet Green Business Events, pendant du projet Green Events. Ce dernier vise à soutenir les professionnels de l’événementiel vers l’organisation d’événements plus responsables et inclusifs.

Pour en savoir plus sur le projet Green Business Events, Farvest Marketing est allé à la rencontre d’Isabelle Schummers, conseillère en environnement de l’Oekozenter Pafendall.

Le projet Green Business Events a été rendu public début février. De quoi s’agit-il exactement ?

La direction générale du Tourisme du Ministère de l’Economie est à l’origine du projet Green Business Events (GBE). L’objectif de ce dernier est de permettre aux événements respectant des critères éco-responsables de se certifier avec un logo GBE. Son obtention peut alors motiver toute la filière événementielle vers une transition écologique, durable et responsable. 

Et l’Oekozenter Pafendall, dont je fais partie, est chargé de l’accompagnement des organisateurs pour les aider dans la démarche de l’obtention du logo GBE; mais aussi dans la coordination générale du projet. Pour rappel, il s’agit d’un projet qui s’adresse à tout type d’organisateur (entreprise, association, des ASBL,…) et à tout type de business events (conférence, salon, foire,…). 

Pourquoi avoir initié ce projet au Luxembourg : le pays est-il plutôt un bon ou un mauvais élève en la matière ?

L’origine de GBE se situe dans le projet Green Events : un projet qui avait été lancé fin 2019 – avant le Covid – par le Ministère de l’Environnement. Le GBE vient donc en réponse à une grande demande du secteur événementiel, c’est-à-dire initier un projet similaire pour les événements business – jusqu’alors non-éligibles dans le cadre du projet Green Events. De nos jours, la dimension écologique dans les business events est devenue un élément indispensable au succès des événements et c’est un aspect qui est également demandé par les clients. Ce projet reflète donc un réel besoin du secteur.   

Au-delà de cela, il est difficile de dire si le Luxembourg est un bon ou mauvais élève. Mais avec le lancement de ce projet, tout organisateur d’événement au Luxembourg, peu importe le type d’événement, peut désormais obtenir un accompagnement gratuit et être soutenu dans sa démarche écoresponsable. Et ça c’est une vraie plus-value.  

Avez-vous des données chiffrées à communiquer sur l’impact environnemental actuel des événements ?

Je n’en ai pas pour le Luxembourg, mais une étude avait quantifié les émissions mondiales et rapportait que le secteur événementiel représentait 10% des émissions globales de CO2, dont le transport occupe la première place. La réduction des déchets produits sur un événement et le choix d’un catering biologique et local sont également deux postes qui peuvent contribuer à améliorer l’impact carbone des événements. 

Qu’est ce qui rend un événement plus responsable ? En ce sens, quels sont les pièges à éviter pour ne pas tomber dans le greenwashing ? 

Le GBE dispose d’une checklist avec sept catégories. Cela va de la communication aux stands d’exposition avec le mobilier, en passant par la mobilité, la restauration durable, et la gestion des déchets ; mais aussi la consommation énergétique, l’accessibilité et l’inclusivité. Cette checklist permet donc d’indiquer les points à respecter pour qu’un événement soit considéré comme responsable.

D’autre part, pour éviter de tomber dans le greenwashing, il paraît essentiel d’aller au bout de la démarche et de ne pas se contenter de l’accomplissement de quelques mesures clé. Les organisateurs doivent être ouverts d’esprit et créatifs pour penser à de nouvelles solutions. Dans le cadre de GBE, qui est un logo et non un label, le greenwashing est évité par un travail de contrôle qui est réalisé en amont grâce à l’accompagnement de l’Oekozenter Pafendall et par l’envoi de pièces justificatives pour valider les critères. 

Au niveau opérationnel, est-ce que l’obtention du logo implique une dépense supplémentaire au niveau des coûts d’un événement ? 

Ça dépend de l’investissement dans la démarche responsable : certaines mesures vont même avoir tendance à réduire les coûts, comme par exemple l’usage d’un éclairage LED, la réduction des déchets dans la restauration et la communication. Mais d’autres mesures peuvent en effet générer un surcoût, comme par exemple d’opter pour un catering durable avec des aliments issus de la région et de l’agriculture biologique par exemple. Des surcoûts peuvent également être générés par des changements en termes de logistique et du personnel employé sur l’événement. 

Bien que le projet Green Business Events vise à promouvoir l’aspect écologique, les critères pour l’obtention du logo mettent également en évidence l’inclusivité et l’accessibilité des événements. En quoi ces deux aspects s’alignent avec une approche plus responsable ? 

C’est vrai que la checklist GBE concerne principalement la responsabilité envers la planète, mais il y a également un chapitre consacré à la responsabilité envers la société, donc les autres humains. L’inclusion est devenu un enjeu majeur des business events partout en Europe, et dans le monde. 

On observe de plus en plus que la diversité est un atout de nos sociétés, et que l’inclusion de tous est un ingrédient qui permettra d’avoir une société plus épanouie et plus performante. Et le secteur de l’événementiel peut y apporter sa contribution ; les événements plus inclusifs sont aussi généralement plus enrichissants et favorisent l’engagement et l’interactivité des participants. 

Concrètement, comment le logo Green Business Events peut-il aider à promouvoir l’événement ?

Comme les organisateurs reçoivent le logo GBE avant l’événement, ils peuvent en faire la promotion envers les clients, les participants ou toute autre partie prenante avant le jour-J. L’idée était d’avoir une démarche sérieuse et crédible, tout en permettant aux organisateurs de communiquer sur l’engagement responsable de leur événement. Tous les événements qui ont obtenu le logo GBE sont également listés sur www.greenbusinessevents.lu

European Depositary Bank (“EDB”), the Luxembourg-headquartered provider of banking, depositary and custody solutions, announces today the appointments of Cecilia Gejke, PhD as Managing Director and Member of the Executive Management Board, and Gilda B. Neiman as a Member of the Board of Directors.

As part of Apex Group, EDB is one of the largest providers of depositary services in Europe for regulated UCITS and alternative funds, with over $185bn of Assets under Depositary (as of January 31, 2023).

Cecilia Gejke, PhD, joined EDB in early 2023, bringing nearly two decades of experience in the financial services sector, having held various leadership roles within Risk Management in London, Scandinavia and Luxembourg for international banks such as Nordea, Mizuho, Santander UK and JP Morgan. She has gained a broad experience across the investment, retail and private banking sectors with deep knowledge of products, including derivatives, and financial regulation. She has a proven track record of designing and delivering efficient risk management frameworks to drive business performance, supported by a strong risk culture and has been an active member of the Asset and Liability Committee, Compliance Committee and Management Committee in her previous institutions. She holds a PhD in Material Physics.

Gilda B. Neiman joins the Board of Directors of EDB, drawing on over 30 years’ experience in Executive & Relationship Management, International Wholesale Banking, Post-Trade Financial Services and Corporate Governance. She has worked with complex financial market intermediaries, investors, multi-lateral development institutions, governments and companies around the world to help meet their financial and strategic goals. Ms. Neiman has considerable banking experience having managed Citibank Europe plc’s branch in Brussels, Belgium. She currently specializes in advising institutions including banks on the application of Sustainability and ESG policies, including on environmental impact, diversity & inclusion matters.

This latest news follows the appointments of David Claus as CEO of EDB, and of Robert Steele and Jean-François Thils as Members of the Executive Board, and recent client wins of Arab Bank for digital bank accounts, and GenTwo and Mikro Capital for paying agent services.

Dr. Gejke and Ms. Neiman join the growing number of senior women holding leadership roles across Apex Group and its subsidiaries. Apex Group is a founding signatory of the Luxembourg Women in Finance Charter, and has recently celebrated the success of its internal Women’s Accelerator Program, with the launch of an external Women’s Accelerator Network, the first free of charge, grassroots private membership community that connects women across age groups, roles and professions within the financial services industry.

David Claus, CEO of EDB comments:

“We are delighted to welcome Cecilia and Gilda, two highly qualified and experienced individuals to the Executive Management Board and Board of Directors of EDB, respectively. These appointments are further evidence of our commitment to continuous investment in the governance structures, risk management frameworks and technology infrastructure of EDB as we seek to constantly improve client service and experience. I look forward to working with both Cecilia and Gilda, and the valuable skillsets and strategic insights they will bring to EDB as we continue to grow our differentiated and independent banking solutions for our clients.”

check point infinity global services

Check Point® Software Technologies Ltd., leader mondial des solutions de cybersécurité, présente Infinity Global Services, une solution de sécurité globale qui permettra aux entreprises de toutes tailles de renforcer leurs systèmes, du cloud au réseau en passant par les terminaux. Cette nouvelle solution vise à étendre les services de sécurité de bout en bout de Check Point dans trente domaines, donnant aux entreprises les moyens de construire et d’améliorer leurs pratiques et contrôles de cybersécurité et de faire preuve de cyber-résilience. 

Selon une récente enquête du Forum économique mondial, 86 % des chefs d’entreprise estiment qu’« un cyber-événement catastrophique de grande ampleur » va se produire au cours des deux prochaines années, mais 34 % d’entre eux déclarent que leurs équipes manquent de compétences en matière de cybersécurité. En moyenne, les entreprises sont la proie de plus de 1 100 cyberattaques chaque semaine. La complexité de la gestion des opérations SOC n’a fait qu’ajouter à ce défi, obligeant les entreprises à se protéger contre les cyber-menaces. Infinity Global Services de Check Point vise à combler ces lacunes en proposant des solutions de sécurité de bout en bout qui aident les entreprises à éviter les menaces avancées, à répondre aux attaques généralisées et à améliorer leurs pratiques et contrôles en matière de cybersécurité.
Le modèle complet de bout en bout d’Infinity Global Services fournit trente services proactifs sur quatre piliers principaux :
  • Évaluer : Renforce l’expertise de l’équipe d’une entreprise, du professionnel de la sécurité au RSSI. Comprend des évaluations des risques cyber et IoT, des plans directeurs de sécurité du cloud hybride et des meilleures pratiques Zero Trust.
  • Optimiser : Aide à intégrer la prévention des menaces dans les cyberdéfenses avec SOC en tant que service, Cyber Resilience en tant que service, développement et optimisation de la sécurité et CSPM en cloud géré.
  • Maîtriser :  Optimise la sécurité d’une entreprise et étend les capacités de son équipe en offrant des formations d’initiation à la sécurité du cloud, des formations de RSSI, des programmes de cyberconnaissance et le développement de la main-d’œuvre.
  • Répondre : Renforce la réactivité grâce à des services conçus pour perfectionner la planification de la réponse aux incidents avec des évaluations de la compromission, des tests de pénétration, une détection et une réponse gérées et des exercices de simulation.
Depuis la recherche sur les menaces, au MDR en passant par l’évaluation des risques jusqu’à la surveillance proactive, les services professionnels et la formation, Infinity Global Services consolident automatiquement les systèmes informatiques en une solution unique et facile à gérer, tout en recevant des mises à jour en temps réel des renseignements sur les menaces.
prodware buys westpole belux
© Prodware

Prodware, a leading Digital Transformation enabler in Europe, recently announced the acquisition of Westpole Belux, in order to further expand and reinforce its presence in Europe.

Westpole Belux has more than 40 years of expertise in the Information Technology industry, notably in External Service Provider, Sales Process Management, Cloud Computing, and Cybersecurity solutions. 

With a presence in 4 european countries (Belgium, France, Italy, and Luxembourg), the tech company manages for instance the strategic IT systems of government institutions in Belgium, Luxembourg, Italy, and of the European Union. 

“Prodware and Westpole Belux are two highly compatible and complementary companies. The multiple synergies resulting from this coming together will unleash incredible value for all employees, customers and partners” – Alain Conrard, CEO (Prodware Group)

Employing around 320 employees and generating a €40-million revenue, Prodware’s decision to acquire Westpole Belux aligns with its growth strategy being to: 

  • bolster the geographic footprint and to open up new markets – notably in Italy
  • strengthen the product/service portfolio – notably in the cloud/security/compliance sectors, which Westpole Belux has expertise in 
  • allow to tap into new markets such as the Public Sector and Banking 

Prodware is a leading digital transformation enabler which supports companies’ digital transformation journey – in particular subsidiaries of large groups, mid-size companies, and fast-growing SMEs.

“Westpole Belux has welcomed the Prodware offer with great enthusiasm. The group will now be operating in 14 countries providing an even more comprehensive solution portfolio to a wide range of customers. Like Prodware, Westpole Belux supports companies at every stage of their digital transformation journey, offering an integrated approach to IT solutions and services, focused on reducing complexity, driving innovation and ensuring data security” – Massimo Moggi, Director (Westpole)

luxembourg ad report 2022

Espace Pub et la société Nielsen ont publié la semaine passée le Luxembourg Ad’Report 2022 : les résultats des investissements publicitaires du Luxembourg en 2022. Il s’avère que les investissements publicitaires du Grand-Duché ont progressé de 4,3 millions !

La méthodologie du Luxembourg Ad’Report a évolué. Depuis le 1er juillet 2021, les chiffres de la Presse, de la Télévision et de la Radio ne se basent plus sur la déclaration des régies concernées ; mais plutôt sur une pige réalisée par la société Nielsen Media, à travers la digitalisation de leurs supports respectifs.

Ce changement de méthodologie n’a pas eu d’influence sur les résultats – notamment en termes d’investissement – mais permet en fait aux médias concernés de :

  • disposer des données beaucoup plus tôt (en J+10 au mieux de J+50 avant cette évolution)
  • disposer des créatifs de toutes les campagnes
  • disposer d’une classification (annonceur, produit, marque) plus précise
  • aligner les standards de qualité de la pige luxembourgeoise sur ceux des pays voisins (Allemagne, Belgique, France, Pays-Bas)

La pige de Nielsen Media se voit complétée par une pige digitalisée de l’univers Internet. Encore une fois, cette dernière ne vient pas remplacer la pige déclarative Internet (qui reste à la base des chiffres de ce média), mais vient plutôt la compléter en proposant des informations sur l’activation des campagnes et sur leurs créatifs dans des délais très courts.

La liste des titres repris dans l’étude actuelle est la suivante :

luxembourg ad report 2022

L’ensemble des chiffres publiés est toujours validé par une commission technique composée de représentants d’Espace Pub, de Nielsen Media, et d’un représentant de l’État.

D’autre part, les résultats présentés dans le Luxembourg Report’Ad 2022 prennent en compte les investissements publicitaires commerciaux au Luxembourg pour les types de médias suivants : quotidiens, hebdomadaires, périodiques, radio, TV, Internet, affichage, et cinémas.

D’un point de vue général, les investissements publicitaires commerciaux bruts au Grand-Duché de Luxembourg se sont élevés à un peu plus de 130 millions d’euros sur l’année 2022. Cela représente une hausse de 3.42%, soit une augmentation de 4.308 millions d’euros, par rapport à l’année 2021 (125,922 millions d’euros).

Du côté du top 20 des investisseurs nationaux, le groupe POST Luxembourg s’empare de la première place du classement alors que le gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg – ancien premier du classement 2021 – se retrouve à la troisième place. Cactus quant à lui préserve la seconde place du classement. Voici le classement complet :

luxembourg ad report 2022 top 20

Les différents instruments juridiques liés à la contraception, permettant la mise en œuvre du programme de médecine préventive et d’accès universel aux contraceptifs sur le plan national, entreront en vigueur le 1er avril 2023.

Ce sera donc à partir de cette date, que le remboursement à hauteur de 100% et sans limite d’âge des moyens de contraception prévus dans la convention sera effectif.

“La gratuité contraceptive est le pari réussi s’inscrivant dans la couverture universelle des soins de santé prévue dans l’accord de coalition 2018-2023. Ce règlement grand-ducal permettra à chacune et chacun d’avoir les moyens de planification familiale adaptés à sa situation, ainsi qu’un accès à des services de santé et des médicaments essentiels sûrs, efficaces et de qualité”,

se réjouit Paulette Lenert, ministre de la Santé.

Selon l’Atlas européen de la contraception de 2023, le Luxembourg se place en 4e position avec un score de 82,5% après l’Angleterre (96,9%), la France (93,2%) et la Belgique (91,1%).

“Avec la gratuité mise en place, le Luxembourg s’apprête à grimper davantage les échelons”,

souligne Paulette Lenert, ministre de la Santé.

Les moyens de contraception prévus dans la convention sont les suivants:

  • les oestroprogestatifs oraux à usage contraceptif (pilule contraceptive),
  • les oestroprogestatifs transdermiques à usage contraceptif (patch contraceptif),
  • les oestroprogestatifs vaginaux à usage contraceptif (anneau contraceptif),
  • les progestatifs oraux à usage contraceptif (minipilule),
  • les progestatifs injectables à usage contraceptif (injection contraceptive),
  • la contraception d’urgence hormonale (pilule du lendemain),
  • les progestatifs à usage contraceptif sous forme d’implant sous-cutané (l’implant contraceptif),
  • le dispositif intra-utérin à visée contraceptive (stérilet),
  • la ligature tubaire à visée contraceptive permanente (stérilisation),
  • l’intervention sur les canaux déférents à visée contraceptive masculine permanente (vasectomie).

De plus, en cas d’urgence, une ordonnance médicale n’est pas requise pour le remboursement de la pilule du lendemain dans une pharmacie ouverte au public.

“Avec le remboursement à 100% et sans limite d’âge, l’accès universel aux moyens de contraception pour les femmes et les hommes est dès lors réalité”,

se réjouit Claude Haagen, ministre de la Sécurité sociale.

La prise en charge de 100% de l’intégralité des nouveaux actes et des actes modifiés par le règlement grand-ducal incombera au budget de l’État.

Cette gratuité contraceptive ne concerne toutefois pas le préservatif masculin, certes un moyen de prévention et de contraception répandu et important, de par sa capacité de protéger contre les infections sexuellement transmissibles.

Cependant, le ministère de la Santé, en étroite collaboration avec son partenaire “HIV Berodung” de la Croix-Rouge, met à disposition des préservatifs en libre-service à différents endroits répartis dans les 4 coins du pays, à savoir: les différents locaux du service “HIV Berodung”, le Centre d’information gay et lesbien (Cigale), dans le cadre du DIMPS (service mobile), l’Xchange/MOPUD (mobile de prévention pour usagers de drogues), les centres du Planning familial, le CHL et dans de nombreuses associations œuvrant dans le domaine de la santé affective et sexuelle.

Le ministère de la Santé met également à disposition des distributeurs de préservatifs aux écoles et est en train d’élaborer un concept pour assurer la gratuité de ces préservatifs.

devoteam techradar 2023
© Devoteam

In a flourishing market where new technologies bloom everywhere, businesses must adapt their global strategy so as to keep track of trends, but also to remain competitive. In the context of emerging “Cloud Native”, Devoteam has listed the top trends of exciting and promising technologies in the second edition of its 2023 TechRadar guide.

As companies have been facing new challenges over the past three years, they are aware that engaging in a digital transformation is inevitable. Besides, it can prove laborious due mainly to a lack of skills and resources, plus abundant offering and an ever-growing environment. 

Devoteam makes it a point of honor to identify, evaluate, test and assimilate the latest technological innovations in the fields of cloud, data, application development, cybersecurity – among others; and eventually to spot the most cutting-edge and promising ones. 

“These new disruptive models are built with the cloud, in the cloud, for the cloud. They are Cloud natives, and almost all of the technologies presented in this TechRadar 2023 are part of this movement” – Philippe Bournhonesque, Vice President of Innovative Development (Devoteam Group)

Speaking of emerging technologies, Devoteam highlights that we are entering the Cloud Native era. More than a way to rationalize IT infrastructures and a limitless reservoir of digital resources, cloud is now an essential tool for both innovation and adaptation in companies. Cloud enables the “creation of new, more sober, more resilient, and more in line with society’s expectations and world constraints models”, as mentioned in a press release from the group. 

Taking this into consideration, 96 Tech Leaders of the Devoteam group list – within the TechRadar guide – 150 technologies classified by strategic domains representing the topics on which businesses are strongly advised to spotlight and target, if they want to grow as leading digital companies. 

“The 150 emerging technologies have been ranked according to their degree of maturity and effectiveness” – Philippe Bournhonesque, Chief Technology Officer (Devoteam Group)

The Devoteam TechRadar features six specific segments, which are actually meant to represent what the group judges as the most crucial areas of business in the modern tech world. Here they are: 

  • Digital Business & Products, so as to answer the need for flawless execution. To achieve this, value creation and technological developments both represent the reflection of this desire 
  • Data-Driven Intelligence, which implies that a deep cultural change must be achieved by organizations before turning fully data-driven
  • Distributed Cloud, meaning to implement and enhance Edge Computing so as to relieve network congestion and minimize reaction time 
  • Business Automation, supported with a range of complementary tools (such as Microsoft Power Platform, UiPath, and MuleSoft RPA)
  • Trust & Cybersecurity, in order to address potential security incidents and vulnerabilities – to note that most of them are mainly generated by human errors
  • Sustainability enabled by Digital, which requires accelerating the transition to a low-carbon future: this means that “relevance and precision of models, the traceability and quality of data, and the rigor of processes will all need to be significantly elevated

Devoteam organizes a live session on LinkedIn next April 18. And for those who cannot wait until the event, you can already download the guide to find out how Cloud Native can help accelerate business innovation and discover the top 150 technologies of the year!

e-dih luxembourg
© Luxinnovation

The national innovation agency Luxinnovation has announced yesterday that the Luxembourg Digital Innovation Hub (L-DIH) expands to the European level, introducing the European Digital Innovation Hub (E-DIH). It will now represent the single contact point for digital transformation of the industrial sector on the national and european levels.

The Luxembourg Digital Innovation Hub was launched back in 2019 on both the Ministry of the Economy’s and the FEDIL’s initiative. The idea behind was to support the luxembourgish industry sector in its digital transformation, providing additional financial channels and resources. 

“Accelerating digital transformation and the transition to industry 4.0 for the Luxembourg economy to maintain its competitiveness” – Franz Fayot, Minister of the Economy

The appointment of L-DIH as European Digital Innovation Hub (E-DIH) presents as an important step, providing new components – notably in terms of the L-DIH’s operations, structure, and services

The L-DIH consortium encompasses now the Luxembourg House of Cybersecurity, the Luxembourg Institute of Science and Technology (LIST), the University of Luxembourg, and the University of Luxembourg Competence Center. On top of this, the E-DIH network is composed of 170 E-DIH centers across Europe and is part of the Digital Europe Programme

“Becoming an E-DIH will enable L-DIH to answer a wider range of industrial requirements while enhancing a stronger impact in Luxembourg and in Europe. […] The arrival of new members in the consortium enlarges the range of available technical resources and expertise” – Sasha Baillie, CEO (Luxinnovation)

On their side, FEDIL, the Luxembourg Chamber of Commerce, and the Fonds National de la Recherche (FNR) remains L-DIH’s strategic partners so to exploit synergies. 

Besides, the consortium extension amounts to an expansion of L-DIH missions. Until now, L-DIH’s main missions consisted in inspiring, informing, and engaging businesses part of the industrial ecosystem in their digital transformation; there are now three more missions to come, being: 

  • To support digital skills development and relevant trainings 
  • To help businesses in “testing before investing” so as to encourage them to try new digital technologies and evaluate their return on investment (ROI) before investing
  • To help businesses find funding and investment opportunities for their project related to R&D and digital innovation 

The Luxembourg Digital Innovation Hub will be in charge of creating a training catalog listing all available and essential training for digital transformation, and will also lead an analysis of needs so as to complete the existing offer with new training. 

Although L-DIH is to preserve a local orientation, it will take benefit from the E-DIH network to favor closer collaboration and access a larger range of digital competencies and technologies.